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Vieux de la veille
13 décembre 2018

Piloter un avion, plus facile que la conduite sur route !

Cette année, j'ai trouvé un magnifique cadeau au pied du sapin : une séance de pilotage d'avion. Un cadeau inhabituel de mon beau-père que j'étais impatient de réaliser. Trois jours après, j'ai donc appelé pour réserver une date. Et c'est ainsi que, dimanche dernier, je me suis rendu à Nantes avec mon beau-père pour tenter l'aventure. Nous y avons fait la connaissance de Lucas, un pilote sympathique avec dix ans d'expérience au compteur. Après qu'il nous ait donné un petit court théorique, nous avons rejoint l'appareil et j'ai pris place sur le siège du pilote. L'appareil disposait de quatre places, ce qui fait que mon ami a pu se joindre à moi en tant que passager. J'imaginais que mon formateur allait se charger du décollage et de l'atterrissage, les deux phases les plus délicates. Mais en fin de compte, voyant que je n'étais pas trop tendu, il a décidé de me laisser faire. Ce n'était pas inconscient de sa part : l'appareil était un véhicule d'auto-école, et toutes les commandes étaient donc doublées. Lucas pouvait ainsi corriger mes erreurs si cela s'avérait nécessaire. Le décollage a été assez facile, en fait. Quand on a mis les gaz, il suffit de tirer progressivement sur le manche, et on dit adieu au plancher des vaches. C'est aussi simple que cela. Là-haut, même un enfant de 5 ans pourrait piloter ! C'est même plus facile à piloter qu'une voiture ! Là-haut, les déplacements se font certes en trois dimensions, mais il n'y a en même temps ni obstacle ni circulation. C'est tellement vrai qu'on peut passer son PPL avant même d'être en âge pour avoir le permis de conduire ! Pour autant, ça requiert tout de même une grande concentration. Si l'appareil est maniable, il ne pèse pas lourd, et la moindre bourrasque suffit à le faire dévier de sa trajectoire. Il faut donc compenser en permanence avec le manche. Mais bon, ce n'est pas bien compliqué. Le seul moment un peu délicat, au final, ça a été l'atterrissage. Vers la fin, Lucas s'est vu obligé de corriger notre vitesse d'approche. Mais à part ça, j'ai été autonome tout du long. Au final, j'ai vraiment apprécié cette initiation au pilotage d'avion. Et au-dessus de Nantes, la vue est somptueuse. Mille mercis au beau-père Noël pour ce moment, en tout cas ! A lire sur le site internet de cette expérience d'initiation au pilotage en avion à Nantes.

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